lunes, 25 de febrero de 2019

Rue Delambre,
Behind the Rue Huygen - Paris Montparnasse

“Les Années folles”
there, just a few steps away, there was a building called Hötel des Écoles, where small rooms (spacious of 15m2) were transformed into ateliers, which were usually occupied for long periods of six months to a year.
There they were installed:
Man Ray y Kiki de Montparnasse , Breton , Miro, Tristán Tzara, Léonard Tsuguharu Foujita y Federico Cantú , Ginés Parra, Joaquín Peinado…..etc.






domingo, 17 de febrero de 2019

ÉDITION ORIGINALE du PREMIER LIVRE d’Apollinaire, de Derain illustrateur et de Kahnweiler éditeur. 
Entrepris dès 1898, l’ouvrage connut deux versions : l’une publiée en 1904 dans Le Festin d’Ésope, revue fondée par l’auteur ; la seconde, après avoir été remaniée, fit l’objet de cette publication.
Dans cette première œuvre, on retrouve les thèmes essentiels du poète cubiste : impossibilité de l’amour, obsession du temps, quête de l’identité et exaltation de la création poétique. Elle est au cœur de sa production. Le dernier chapitre « Onirocritique » apparaît comme le prélude du surréalisme. 
Premier pas du peintre de Chatou dans l’univers du livre illustré.
Derain se mit au travail en juillet 1909, et l’acheva en septembre. Le livre comporte 32 bois gravés dont 12 hors-texte.
Ces gravures informelles, d’esprit fauve, ont été traduites assez librement, recherchant davantage un enrichissement du texte qu’une paraphrase. François Chapon évoque ici l’art des résonances. 



Intronisation de Kahnweiler en tant qu’éditeur.
C’est la première d’une série de publications qui marqueront de leur empreinte le monde du livre illustré au XXesiècle. Novateurs, ces livres obéissent à une politique d’édition très stricte : texte en édition originale, tirage restreint, modestie du format, absence de légende pour les planches et de pagination, parti pris du noir... 
L’un des 75 exemplaires sur papier vergé fort à la forme des Papeteries d’Arches. 
L’une des plus spectaculaires reliures à lames d’ébène articulées de Jean de Gonet. La technique de la lame articulée a été développée par ce dernier à partir de 1981. 
L’exemplaire a été placé dans une boîte à rabats, à dos de box, titrée au palladium. Édition limitée à 106 exemplaires numérotés, signés par l’auteur et l’artiste. DIMENSIONS : 258 x 198 mm. 
€25,000–35,000 $29,000–40,000 - £22,000–31,000 
Peyré, Peinture et poésie, pp. 107-108 ; [...], From Manet to Hockney, Victoria & Albert Museum, 26 ; Johnson, Artists’ Books in the Modern Era, 1870-2000,14 ; Pernoud, L’Estampe des Fauves, pp. 79-84 ; [...], André Derain, Musée d’Art moderne de la ville de Paris, p. 380 (« Ces gravures sont un adieu au fauvisme ») ; Coron, Jean de Gonet relieur, 2013, n° 29 (jusqu’en 2010, environ soixante-dix reliures à lames articulées ont été créées par le relieur...) et n° 95 (« les reliures à lames articulées, peu nombreuses au début des années 1990, reviennent en nombre – on en compte 28 – de 1997 à la fermeture de l’atelier »). 


Le Bestiaire ou cortège d’Orphée.Paris, Deplanche, 1911, in-4°, maroquin naturel, plats mosaïqués de veau noir et bleu à motifs de feuilles, de feurs et de papillons, décor se prolongeant au dos, doublure et gardes en daim noir, couverture de vélin, tranches dorées, chemise et étui gainés de maroquin havane (Creuzevault).




ÉDITION ORIGINALE. 
Suite de trente poèmes, quatrains et quintils, dont quinze avaient été publiés en juin 1908 dans La Phalange. En août 1910, Guillaume Apollinaire (1880-1918) adressa à Raoul Dufy (1877-1953) les 15 autres. 
Picasso avait été pressenti par le poète pour illustrer son Bestiaire, mais ce dernier ne manifestant qu’un enthousiasme modéré dans son travail – fn 1907, seuls deux bois avaient été gravés (« Le Poussin » et « L’Aigle ») –, Apollinaire porta alors son choix sur Dufy.
« C’est Apollinaire qui m’entraîna dans l’aventure du Bestiaire qui devait, selon lui, nous apporter gloire et richesse ! C'était en 1909 » (Raoul Dufy, Plaisir du bibliophile, n° 7, 1926, propos recueillis par P. Istel). 
En Deplanche ils trouvèrent leur éditeur ; Gauthier-Villars, l’oncle de Willy, fut choisi comme imprimeur ; le tirage se ft sous la responsabilité de l’excellent pressier Lefèvre. Dufy surveilla l’impression de la première à la dernière feuille. 
Le 11 mars 1911, l’ouvrage parut. Le succès escompté tarda à venir. Ne parvenant à vendre qu’une vingtaine d’exemplaires, Deplanche céda le restant au libraire antiquaire Chevrel. 
39 bois originaux de Raoul Dufy (1877-1953).
Gravés à la Villa Médicis libre ainsi que dans son atelier rue Linné, ces emblèmes animaliers, fruits d’une étroite collaboration entre le peintre et le poète, ce dernier intervenant directement dans la composition des bois, suscitèrent les louanges d’Apollinaire.
« Ces bois témoignent d’une grande sûreté de métier, ils sont traités d’une manière large où les détails qui ne sont jamais évités ne deviennent pas des minuties. » 
€25,000–35,000 $29,000–40,000 - £22,000–31,000 
Par ce cycle iconographique empreint d’imagerie populaire, Dufy a introduit une notion décorative dans le bois fauve.
Sensible à cette suite d’images, Paul Poiret suggéra au peintre de transposer les motifs du Bestiaire pour des décors de tissus et de tentures ; il travailla également d’après cette veine pour le soyeux lyonnais Bianchini. 
L’un des 91 exemplaires sur papier de Hollande ; celui-ci est signé à la plume par Apollinaire et Dufy. 
Intéressante reliure à mosaïque non sertie d’Henri Creuzevault (1905-1971).
Elle appartient à la série qu’il réalisa à partir de 1950 sur le Bufon de Picasso, L’Enchanteur pourrissant d’Apollinaire ou Les Lettres portugaises illustrées par Matisse...
Certaines d’entre elles furent exposées à la Bibliothèque nationale en 1953.
Celle-ci a échappé au travail de recensement de Colette Creuzevault. 
Exemplaire très bien conservé.
Discrètes rousseurs aux premiers feuillets de garde. 
Édition limitée à 122 exemplaires numérotés, signés à la plume par Apollinaire et Dufy. DIMENSIONS : 320 x 245 mm.
PROVENANCE : Jacques Fougerolle. 
Peyré, Peinture et poésie. Le dialogue par le livre, p. 108 ; Pernoud, L’Estampe des Fauves, pp. 84-94 ; Tourlonnais – Vidal, Raoul Dufy, l’œuvre en soie, pp. 22-27 ; [...], From Manet to Hockney, Victoria & Albert Museum, 27 ; Castelman, A Century of Artists Books, p. 119. 

sábado, 16 de febrero de 2019



Es muy difícil no enamorarse de Paris - decía Cantú –Una ciudad suntuosa plagada de historia y belleza , de moda y pobreza , de hermosas  mujeres e inolvidables fiestas.
Así fue el Paris de entre guerras, donde conocí a los mas grandes personajes de la época, una ciudad que vivía en pasado , presente y que trasformaba el futuro de todos nosotros, una metrópoli que lego al mundo gran parte de lo que puede contener el arte mismo de un siglo.

Vivíamos ese tiempo con mucha pasión pero la verdad es que éramos todos aspirantes a morirnos de hambre , hasta el mismo Breton , que fue salvado en plena Guerra por Peggy Guggenheimcunado todos nos trasladamos a vivir a Nueva York a finales de los 30s.
En aquellos años los cafés y bares eran un elemento esencial en la vida de todos nosotros, se formaban grupos de una o varias mesasen las terrazas y  ahí pasábamos gran parte del tiempo , pintores, escultores, músicos y poetas además de un sinnúmero de modelos , ahí podíamostratar la venta de obras antes de pasar al atelier .

Recuerdo dice Cantú-  cuando llegue a Franciaah finales de 1923 Modigliani ya se había convertido en un mito. Tanto que unos meses antes de salir de México , estábamos algunos pintores en el alcázar del Castillo en Chapultepec donde nos enfilábamos para saludar a el Presidente Obregón, el  nos fue saludando a todos 
y se paro frente a  Diego y le dijo   “oiga Rivera como lo admiro a usted por haber podido conocer a Modigliani.” Ese recuerdo se me grabo y mas tarde lo reviví cuando pude admirar por primera ves una serie de obras de Picasso y Modigliani en el atelier del  amigo que tendríamos en común - Gines Parra.

A la Muerte de Modigliani su obra habían sido recuperada en diferentes bares y bistrots como Rosalie´s – Closerie des lilas- mas aun después del éxito de la subasta de obra confiscada a Daniel Henry-Kahnweiler .

Adolfo Cantú
Colección de Arte Cantú Y de Teresa



jueves, 14 de febrero de 2019

La pintura de Alemania es aquella que se ha producido en el territorio que forma parte del Estado Federal Alemán, o por artistas nacidos en el mismo. Puede entenderse como momento inicial de la pintura alemana, las miniaturas realizadas en algún taller germano en la época carolingia. Se conoce como Edad de oro de la pintura alemana al siglo XVI, con la obra de dos pintores de primera fila, como Alberto Durero y Hans Holbein el Joven, y muchos otros destacados maestros como Lucas Cranach el Viejo y Albrecht Altdorfer. En la época romántica destacaron los nazarenos y los paisajistas como Caspar David Friedrich. Finalmente, en el siglo XX, artistas alemanes protagonizaron el movimiento expresionista, sobre todo en su segunda generación y se encuentran en el origen de otras corrientes de vanguardia como el dadaísmo o el surrealismo.




Con el Renacimiento surgió en Alemania un tipo peculiar de arte, en contraposición con las obras creadas en Italia. Se abre así el llamado Siglo de oro de la pintura alemana, con pintores como Grünewald (1470-1528), Hans Holbein, Alberto Durero y Lucas Cranach. A la tradición gótica alemana, expresionista y patética, se le une ahora la influencia italiana y la llegada de la Reforma protestante, lo que provoca una pintura con personalidad propia.
Hans Holbein el Joven era hijo del pintor homónimo llamado «el Viejo» de la época gótica. Además de la tradición germana, Holbein conoció la obra de Rafael, cuya influencia es evidente en sus cuadros de Vírgenes, como la Virgen del burgomaestre Meyer. Pero si destacó en algo fue como retratista. Desarrolló gran parte de su carrera en Inglaterra, en la corte de Enrique VIII, retratándole a él, a algunas de sus esposas y a cortesanos como Tomás Moro. Su obra influyó en la retratística posterior de la época isabelina que imitó su estilo.
Aunque Hans Holbein formó parte de los círculos reformistas, llegando a tratar con Erasmo, el artista alemán más vinculado a la reforma protestante fue Lucas Cranach, amigo de algunos de los reformistas como Melanchton y Lutero, a quienes retrató. Aparte de estos retratos, lo más conocido de su producción son los temas mitológicos o clásicos, con numerosas Venus, sobre todo estando en la corte de Sajonia. Estos desnudos están bastante alejados de los modelos italianos, y se aproximan a la representación germánica gótica de figuras alargadas y lineales.
Frente a la riqueza y diversidad de la pintura del siglo anterior, en el siglo XVII la pintura alemana tuvo mucha menor importancia, sin duda por las circunstancias históricas, con una Guerra de los Treinta Años (1618-1648), que devastó el territorio alemán, reduciendo su población en un 30%. Un centro de producción artística a principios de siglo fue la corte del emperador Rodolfo II en Praga. Allí trabajaron artistas de diversas nacionalidades, entre ellos los alemanes formados en Italia: Johann Andreas von Düwens, Hans von Aachen y Hans Rottenhammer.
Cabe diferenciar entre el romanticismo católico del sur y el romanticismo que podría llamarse protestante del norte de Alemania. Dentro del primero se encuentra un conjunto de pintores alemanes que no estaban dentro del territorio germano sino en Roma: son los nazarenos. Se trata de un grupo de pintores nacidos alrededor del año 1785 y que en 1810 llegaron a Roma, viviendo en comunidad. Trataban de expresar sus propios ideales morales y religiosos y de revivir una pintura ajena al academicismo, recibiendo en diversas medida la influencia de pintores como Fra Angélico, Perugino o Rafael. Overbeck y Peter von Corneliusdestacan en este grupo y colaboraron en obras colectivas como la decoración con frescos de la Casa del Cónsul de Prusia en Roma o la Villa Massimi. Con el tiempo, la mayor parte de los nazarenos regresaron a Alemania, integrándose en las instituciones académicas, desempeñando cargos oficiales y realizando grandes obras murales. Así, Wilhelm von Schadow enseñó en Düsseldorf y Philipp Veit en Fráncfort del Meno. Sólo Overbeck permaneció en Italia.

lunes, 11 de febrero de 2019

Dario Ortiz Robledo (born September 12, 1968) is a Colombian artist.
Ortiz, a self-taught artist, was born in Ibagué, Colombia. He graduated from the Colegio San Tarsicio in Bogotá in 1986. He studied History and Art Appreciation in the Jorge Tadeo Lozano University in 1990-91. Since 1995, he has been a contributor to the Ibaque newspaper, El Nuevo Día. Ortiz publications include the books: Oscar Rodríguez Naranjo, the painter of beauty (1996), Neorealism (2000), in collaboration with Carol Damian, and the essays Vásquez de Arce y Ceballos drawings (2007), A Brief History of the arts in the territory of Tolima (2007), and A novel painted (2008).
In 2003 Ortiz founded, and is the head of, the Museo de Arte del Tolima in Ibagué.





Darío Ortiz

Durante mas de cuatro décadas , he tenido la oportunidad de conocer diferentes colecciones de Arte , tanto publicas como privadas, también diferentes Ateliers y muchos grandes maestros que han legado un cumulo de diferentes estilos , simplemente el siglo XX fue una explosión de
tendencias que se contraponen y en algunas ocasiones se fusionan,
De ahí que para poder realmente entender una obra tenemos que sintetizar nuestro conocimiento adquirido 
Lo que si queda claro es que debemos cultivar nuestra vista , nuestra sensibilidad
nuestro gusto y todo con el fin de degustar , aprobar o negar una obra o un autor.

Para un coleccionista una obra una docena de obras logran cimentar un proyecto de vida
En lo personal me gusta pensar en la visión que tendría en el renacimiento el Rey Francisco 
Primero en Francia , la estructura medular de uno de los Museos del mundo El Louvre , se inicia
 con esta pequeña y selecta colección de obras ya entrados en la primera mitad del siglo XX a muchos años de distancia podemos quedarnos perplejos de la colección de Peggy Guggenheim (ella estuvo en el momento y lugar preciso) pero también  ella tuvo la sensibilidad de rodearse de los mas grandes Maestros del XX tanto para adquirir obras selectas , como para dejarse asesorar .



Y al final al igual que Francisco I la Colección de Peggy como muchas otras colección se engrandece mostrándose al mundo como un gran legado
De esa misma manera muchos museos se nutren decolecciones
De esa manera los buenos artistas tienen un pase seguro para la inmortalidad .

Y es ahí donde nos detenemos a degustar la obra de Darío:
 A manera de glifos sensibles , Darío nos invita a descifrar una historia , un momento , un pensamiento un conjunto de líneas , formas , colores que ocasionalmente se pierden entre claro obscuro , solo con el fin de que fijemos la vista en la escena, en el objetivo,
Para nunca salir del lienzo , para no distraernos en los limites del marco y el muro , donde cada quien interpreta a su manera lo visto o,  una silla , un sillón , una mesa un librero todos juegan dentro del mismo lienso donde quizá lo sensual , lo humano nos atrapa lo amable o no amable termine por atraparnos.

Podemos mirar y volver a mirar la obra de Darío , pero no sin preguntarnos  “su belleza existe” o solo viaja al mismo tiempo que nuestra imaginación!
Porque Despues de ver una pintura de Darío y volverla a ver, habrá que cerrar los ojos y contemplar su grandeza.


Existe un hermoso lienzo del siglo XVII en nuestra colección titulado “San Jerónimo”  
Que grata sorpresa que cuando recibí la invitación en mi IPhone y sin poder leer las diminutas letras que ostenta el retrato:
De inmediato la escena descrita por Darío en su obra , me lleva a nuestro San Jerónimo Su magnifico lienzo titulado “Autorretrato como San Jerónimo mas viejo mas sabio” me fascino y me permitió conectarme con la obra de este gran maestro.

 


Que hermosa metáfora 
San Jerónimo, considerado Padre de la Iglesia, uno de los cuatro grandes Padres Latinos. La traducción al latín de la Biblia hecha por san Jerónimo, llamada la Vulgata (de vulgata editio, 'edición para el pueblo') 
Tema recurrente de los grandes maestros:
Recordamos el de Carabaggio de 1605
El de Alberto Durero de 1514
El de Francesco Bassono del siglo XVI
Porque existen ya un Sin  numero de obras maestras a las que hoy, se suma la de Darío

Durante siglos la figura de San Jerónimo se elevo al grado cardenalístico  de ahí la tonalidad y color , en algunas obras lo admiramos con media túnica y ligeramente desnudo,  pero en la obra de Darío  él nos permite ubicarnos dentro de estas dos realidades , igual retando al coleccionista a indagar, en la maestría del pincel, tanto para trabajar los pliegues de una tela o los de la propia carne.
 Obras maestras todas , donde se conjuga la iconografía , el color tanto como la fuerza del personaje central rodeado de libros, tela, escritos , pensamiento, drama y erudición , todo viajando en una intemporalidad maravillosa, tanto en el estilo de los lugares, como en el trazo , que solo los grandes maestros pueden dominar, por supuesto que en esta y muchas obras,  vemos un oficio llevado a la perfección .

En hora buena por el Salón de la Plástica Mexicana que hoy es anfitrión de un hermano latinoamericano tan excelso como los de nuestra Gran Escuela Mexicana de Pintura.


Adolfo Cantú
Febrero 2019-02-05



martes, 5 de febrero de 2019

Les extendemos una cordial invitación a la clausura de la muestraJeroglíficos sensibles de Darío Ortiz, que se llevará a cabo el díasábado 9 de febrero en punto de las 12 en el Salón de la Plástica Mexicana, Colima 196, col. Roma.
Como parte de evento tendrá lugar el Conversatorio:Proyecciones de la nueva figuración latinoamericana, en el que participan Adolfo Cantú, Darío Ortiz, Rafael Merinoo y María Luisa Reid. Contaremos con la presencia del Dr. Enrique Marquez Jaramillo, Director Ejecutivo de Diplomacia Cultural. SRE.

Cantú Y de Teresa